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Multi-artistes

La discothèque idéale Jazz – Label Vogue

35 ALBUMS ORIGINAUX EN 20 CD EDITION LIMITEE !

lundi 11 février 2013
Discothèque idéale Jazz Vogue

Legacy Jazz France ressuscite les trésors du jazz enregistrés sur le prestigieux label VOGUE. Associé à Léon Cabat et Albert Ferreri, Charles Delaunay créa Vogue en 1948. Chargé du répertoire, il donna naissance à un solide catalogue de jazz. Cette même année, il publiait l’enregistrement du concert historique de Dizzy Gillespie à Pleyel. L’année suivante grâce à la signature de Sidney Bechet sur le label naissant, Vogue prit rapidement son essor. ‘’Les Oignons’’ fut le premier tube de la maison. Suivirent ‘’Dans les rues d’Antibes’’ et ‘’Petite Fleur’’. Paris étant devenu dans les années cinquante le lieu de passage obligé des jazzmen américains, Charles Delaunay tisse une vaste toile pour les réunir sous la bannière Vogue : il enregistre dans les années 1950 quelques pointures locales et internationales comme Django Reinhardt, Martial Solal, Henri Renaud, Claude Luter, Clifford Brown, Dizzy Gillespie, Roy Haynes, Lee Konitz, Thelonious Monk, Gerry Mulligan, Lionel Hampton, Lalo Schifrin…

L’histoire de quelques grands jazzmen américains à Paris, leur rencontre avec des musiciens français et européens. Ces disques en conservent la mémoire. Ils sont notre patrimoine.

La discothèque idéale Jazz – Label Vogue

AU PROGRAMME :

N° 01 : Django Reinhardt – Souvenirs de Django Reinhardt Vol. 1, 2 & 3 (1947) :
Le génie intemporel de la guitare dans un CD réunissant trois albums enregistrés en 1947 dans le cadre de l’émission de radio ‘’Surprise-Partie’’ diffusée sous l’égide du Radio France de l’époque.

N° 02 : Dizzy Gillespie – The Fabulous Dizzy Gillespie Pleyel Jazz Concert 1948 – A Session With Max Roach (1949)
Deux albums par deux géants du bebop : le trompettiste Dizzy Gillespie dans un concert mémorable qui enflamma la Salle Pleyel en 1948 et le batteur Max Roach à la tête d’un quartette avec James Moody et Kenny Dorham

N° 03 : Roy Eldridge And His Little jazz – Roy Eldridge joue pour la danse (1950 -1951)
Deux albums signés par le trompettiste Roy Eldridge. Le chaînon manquant entre le classicisme de Louis Armstrong et la modernité de Dizzy Gillespie

N° 04 Sidney Bechet – Souvenirs – On Parade – Ambiance Bechet (1951 -1952)
Dans les années 1950 La popularité du saxophone soprano Sidney Bechet dépasse largement le cadre du jazz. Ces trois albums en témoignent.

N° 05 Mary Lou Williams Plays In London – Mary Lou Williams Quartet (1953 – 1954)
Une pianiste brillante qui traversa l’histoire du jazz dans une constante évolution (arrangeant des titres pour Duke Ellington ou jouant même duo avec l’avant-gardiste Cecil Taylor). Elle signa pour Vogue ces deux disques lumineux

N° 06 Martial Solal Trio – Martial Solal Trio Vol. 2 (1953 – 1955)
Il y a tout juste 60 ans le plus ‘’jeune’’ de nos pianistes de jazz (Martial Solal est toujours en activité à 85 ans) entame, avec ces deux premiers albums en trio, une carrière discographique éblouissante.

N° 07 Lee Konitz – Plays (1953)
Lee Konitz a participé à la naissance du jazz cool avec Miles Davis en 1949. De passage à Paris en 1953 il enregistre ce magnifique album devenu totalement intemporel. 60 ans après ces faces, le son de Lee Konitz – lui aussi toujours en activité à 85 ans – reste inaltérable.

N° 08 Lionel Hampton – Jazz Time Paris Vol. 4, 5 & 6 (1953)
Premier Jazzman à avoir fait du vibraphone un instrument soliste, Lionel Hampton enregistre ces trois albums à Paris en 1953. Ils seront couronnés à l’époque du grand prix du disque.

N° 09 Clifford Brown – Gigi Gryce / Clifford Brown Sextet – Clifford “Brownie” Brown Quartet (1953)
C’est en 1953, à la faveur de la tournée européenne du grand orchestre de Lionel Hampton dont il fait partie, que le trompettiste Clifford Brown – disparu trop tôt en 1956 à l’âge de 26 ans – enregistre ces faces historiques.

N° 10 Bobby Jaspar – Bobby Jaspar’s New Jazz Vol. 1 & Vol. 2 1954)
Le saxophoniste, flûtiste et compositeur belge Bobby Jaspar est le pivot autour duquel tourne le jazz moderne français des années 1950. Ces deux albums en sont un excellent témoignage.

N° 11 Jimmy Raney – Visits Paris (1954)
Il est temps de redécouvrir Jimmy Raney qui connu une certaine notoriété en enregistrant avec Stan Getz. Cet album rend hommage à la sensibilité et à la justesse d’un des meilleurs guitariste de l’histoire du jazz.

N° 12 Henri Renaud – Henri Renaud All Stars Vol.1 & Vol. 2 (1954)
Avant de devenir directeur de collection au département jazz de Sony Music, le pianiste, compositeur et arrangeur français Henri Renaud a organisé un nombre impressionnant d’enregistrements pour Vogue : ici à New York deux albums éblouissants de swing avec entre autres Al Cohn, Milt Jackson Percy Heath et Jay Jay Johnson…

N° 13 Oscar Pettiford – Sextet Vol. 1 (1954)
Henri Renaud est aussi à l’origine de cet enregistrement d’Oscar Pettiford qui reste incontestablement le premier contrebassiste et violoncelliste du jazz moderne.

N° 14 René Thomas et son Quintette (1954 – 1955)
Malgré une carrière assez discrète, cet immense guitariste a joué avec Miles Davis et enregistré avec Chet Baker, Sonny Rollins et Stan Getz. Il est temps de le redécouvrir.

N° 15 Gerry Mulligan – The Gerry Mulligan Quartet 3e salon du jazz, Salle Pleyel juin 1954
Le saxophoniste baryton Gerry Mulligan est à l’instar de Lee Konitz à l’origine de la mouvance cool qui devait, à la fin des années 1950, faire le succès de Miles Davis. Cet album remarquablement enregistré ‘’live’’ à la Salle Pleyel est un excellent témoignage de son art tout en nuance

N° 16 Thelonious Monk – Piano Solo (1954)
C’est en France et pour le label Vogue que le génial pianiste, compositeur et principal créateur du bebop a enregistré ce premier disque en solo

N° 17 Roy Haynes Modern Group – Jimmy Jones Trio Featuring Roy Haynes & Joe Benjamin (1954)
C’est sous son nom et au sein du trio de Jimmy Jones que Roy Haynes, grand spécialiste de la batterie bebop, enregistre ces deux albums rares.

N° 18 André Hodeir – Essais – Musiques de films (1953 – 1954)
Musicien et théoricien du jazz André Hodeir signe ces deux albums dont l’importance ne s’est pas démenti.

N° 19 Lalo Schifrin – Rendez-vous dansant à Copacabana (1955)
L’auteur de la musique du film Mission impossible démarra sa carrière discographique en France avec cet album de musique dite ‘’typique’’ où le jazz est déjà bien présent.

N° 20 Barney Wilen – Tilt (1957)
Le jeune et brillant saxophoniste français Barney Wilen a tout juste 20 ans quand il enregistre ce premier disque. Lauréat du prix Django Reinhardt de l’académie du jazz il participera ensuite, aux côtés de Miles Davis, à la musique du film Ascenseur pour l’échafaud.

Inclus un livret 40 pages comprenant
– Texte de présentation en Français
– Reproduction des pochettes originale en Vinyl Replica
– Discographie complète